IKIGAÏ

Dans la région d’Okinawa au Japon, l’Ikigai fait partie de la culture, et désigne la « raison d’être » de chaque vie.

Chercher son Ikigai, c’est un travail personnel qui pousse à fouiller en  soi et regarder ce qui est réellement important pour nous-même, notre usine à bonheur en somme !

Ikigaï est composé de 2 idées en japonais :   (生き) « Iki », la vie, et  (甲斐) « Gaï » qui signifie littéralement « la réalisation de ce que l’on attend et espère ».

L’approche particulière d’IKIGAÏ est de vouloir se positionner en tant qu’acteur de notre vie, en son centre, au croisement de nos différents intérêts.

Il conjugue passion, profession, vocation et mission.

Il nous permet de décortiquer et d’analyser point par point ce qui nous met en mouvement, de mettre un mot sur ce qui nous intéresse, et de bien différencier chaque aspect de notre vie:

  • Ma passion est-elle ma profession?
  • Ma vocation aide-elle les autres?
  • Ma passion doit-elle être utile au monde?

Identifiez chacun des cercles, puis leurs croisements, et trouvez progressivement votre Ikigaï.
C’est un travail long, qui demande de la patience et de la persévérance.
Il est tout de même possible que vous ayez déjà les réponses à certaines des questions :

  • Qu’aimez-vous ?
  • Pour quoi êtes-vous doué.e ?
  • Pour quoi pouvez-vous être payé.e ?
  • De quoi le monde a-t’il besoin ?

-> Au centre vous trouverez votre ikagaï.

Si vous éprouvez le besoin de faire ce travail accompagné, sentez-vous libre de me contacter !

contact@stephanieminati.fr

Encéfal®, ses 4 approches :

Méthode validée scientifiquement (CeRCA, UMR-CNRS 7295), faisant l’objet d’études et de publications officielles, Encéfal® propose d’entraîner son cerveau régulièrement sur différents axes parallèles. Et c’est là, la richesse de cette méthode !
Voici ses 4 approches :
1-LES INTELLIGENCES MULTIPLES : Nous sommes tous différents et la méthode respecte ce principe en nous basant sur nos intelligences-forces pour amener les autres à se développer (sur la base des intelligences multiples théorie d’Howard Gardner)
2-NOS EXPÉRIENCES QUOTIDIENNES modèlent, façonnent et font évoluer notre cerveau, à tout âge.
3-LE JEU et le plaisir qu’il procure est un outil très puissant.
4- BEAU BIEN BON : une base qui démultiplie les résultats obtenus avec un entraînement sur les fonctions exécutives comme : la logique, la stratégie, la planification, la résolution de problèmes et le raisonnement, ainsi que la mémoire, l’attention, la concentration.
La méthode Encéfal® permet :
-> D’améliorer les capacités cérébrales,
-> De développer l’agilité intellectuelle,
-> De devenir plus fort psychologiquement,
-> De développer l’optimisme et la notion de bonheur (au travail et dans la vie de tous les jours)
Elle repose sur la régularité des séances/ateliers : compter une dizaine de rdv espacés d’une semaine environ pour constater une amélioration substantielle.
Elle se prévoit en individuel (séances) ou en groupe (ateliers).
Programmez une conférence-présentation de la méthode Encéfal® près de chez vous, ou des ateliers de groupe  !
Me contacter : contact@stephanieminati.fr

Parent d’ado, parent Coach !

Pour vous parents d’ados, un truc de coach :
Demandez à votre ado de penser très fort à sa vie rêvée une fois adulte la règle est : « tout est possible ». Attention : assurez vous que le jeu lui plait et qu’il est partant pour l’expérience ! Il a le droit d’imaginer tout ce qu’il veut vraiment.
Proposez-lui d’être créatif, il peut la décrire avec des mots ou d’en faire un tableau photo avec des éléments piochés dans les magazines et autres journaux, dessiner , tout ce qui lui plaira (même utiliser des outils en ligne (par exemple canva, il suffit de s’inscrire, c’est gratuit) :
  • Comment se voit-il?
  • Avec qui est-il ?
  • où vit-il ?
  • Comment est-il habillé?
  • Que fait-il ? …
Il est essentiel qu’il précise sa vision et l’agrémente de détails. Si besoin, posez-lui des questions de curiosité pour l’aider. Il a tout son temps et vous pouvez en discuter s’il le souhaite (mais vous ne devrez pas juger, critiquer ni émettre d’avis positif ou négatif).
N’insistez pas s’il ne veut pas partager ce jardin personnel.
Invitez-le à placer toutes ces feuilles dans une enveloppe (non cellée) avec la phrase « à ouvrir plus tard » en ajoutant la date ou l’année. Cette enveloppe sera rangée dans un endroit connu de lui seul.
Il pourra consulter ses rêves, ce tableau de vision, et d’imagination quand il le voudra (et même les compléter/corriger). Pour plus d’informations sur le sujet du “parent-coach”, contactez-moi ! contact@stephanieminati.fr

Beau Bien Bon au service de votre cerveau !

Beau Bien Bon est une façon très naturelle et très saine d’augmenter son bien-être.
L’approche que le Dr Elisabeth Grimaud a décrit dans son livre “Beau Bien Bon” veut permettre à chacun de s’entraîner chaque jour pour placer le beau, le bien et le bon au cœur de sa vie :
Le BEAU sublime
Le BIEN équilibre
Le BON rassemble
Et ainsi permettre au cerveau d’activer les neurotransmetteurs du bien-être, appelés D.O.S.E (Dopamine, Ocytocine, Sérotonine et Endorphine).
En travaillant sur son cerveau, chacun peut apprendre à se servir de deux mécanismes pour voir et vivre sa vie différemment :
  • la flexibilité mentale : changer de point de vue sur une situation
  • le contrôle inhibiteur : lutter contre les automatismes et les mauvaises routines gardées par habitude et non par choix

Chacun va, ainsi, de façon très naturelle, bénéficier de l’approche Beau Bien Bon :

  • Changer de regard sur le quotidien
  • Être en phase avec soi-même
  • Développer de meilleures relations avec les autres.
C’est ça, le Beau Bien Bon, une formule qui fait de chacun le magicien-artisan de sa vie !
Plus d’informations?
J’ai été formée à Encéfal®  et au BeauBienBon©, par Elisabeth Grimaud,
Le Beau Bien Bon, c’est un livre, une conférence, des ateliers.
Programmez une conférence-présentation du Beau Bien Bon près de chez vous !
=> contact@stephanieminati.fr

Le bonheur au travail

Shawn Achor, une des figures majeures de la psychologie positive, traite dans un de ses livres (ref plus bas) des 7 principes qui vont permettre de développer le bonheur de manière progressive et efficace :
  • L’atout bonheur : C’est le bonheur qui permet la réussite, et non pas l’inverse.
  • Le point d’appui : Notre état d’esprit modifie les résultats objectifs et les conséquences de nos expériences.
  • L’effet Tetris : Le fait de se focaliser sur les problèmes au travail nous entraîne à repérer ce qui ne va pas dans tous les domaines de notre vie. S’entraîner à chercher le positif peut avoir l’effet inverse. On développe alors la créativité, la motivation, l’efficacité et le bonheur.
  • Le rebond : La manière dont on gère les difficultés et les échecs va influencer notre bonheur. Avoir une vision optimiste des événements focalisée sur le positif, rend les choses plus faciles et nous aide à rebondir.
  • Le cercle de Zorro : L’idée est ici de reprendre le contrôle en prenant conscience de ses émotions et en s’attaquant à des objectifs raisonnables. De cette manière on peut avancer progressivement et être plus efficace et heureux petit à petit (voir la technique des petits pas, “le Kaizen”). Avoir une approche qui se focalise sur des buts atteignables permet de progresser en développant ses compétences.
  • La règle des 20 secondes : Si vous voulez créer une nouvelle habitude, vous allez devoir essayer de l’intégrer dans votre routine quotidienne le plus facilement possible et en économisant le plus d’énergie possible. Cela signifie : moins il vous faudra de temps pour la réaliser (dans l’idéal 20 secondes ou moins), et plus vous serez motivé à la faire.
  • L’investissement social : Protéger et développer le lien social est extrêmement important dans l’épanouissement personnel et le bonheur. Le lien social permet d’être plus heureux, mais le fait d’être à l’écoute des autres est également très positif pour le bonheur et la réussite professionnelle.
Chaque point présente des expériences scientifiques de manière très accessible. Des techniques concrètes pour mettre en application les enseignements de ces recherches sur le bonheur sont également proposées.
Shawn Achor : « Comment devenir un optimiste contagieux ».

Besoins, … vous avez dit besoins?

Un des premiers sujets à aborder une fois que l’importance des émotions est évoquée concerne la notion de besoins.
La première question à poser aux parents, ou accompagnants d’enfants, est :
Quelle est la différence entre besoin et désir (ou envie) ?

Voici une anecdote pour illustrer la différence :
Arthur a très envie de jouer dehors avec ses copains. Il est 19h, et il est temps de rentrer car il a besoin :

  • de dîner,
  • de faire sa toilette,
  • d’aller dormir.

Accompagner l’enfant pour qu’il se connecte à ses besoins en priorité.

Notre rôle d’accompagnant, d’adulte bienveillant proche d’un enfant est de faire en sorte qu’ils soient conscients de leurs besoins et que ces derniers soient respectés.

« Le propre d’un besoin, c’est qu’il a besoin d’être satisfait sinon notre intégrité physique ou psychologique est en danger. On pourrait dire que les besoins sont antérieurs aux désirs, qu’ils sont présents dès l’origine de la vie.
Le propre d’un désir, c’est qu’il a “besoin” d’être reconnu, entendu, pas toujours satisfait même si le désir d’un désir est d’être comblé ! » Jacques Salomé

LES BESOINS HUMAINS :

Les besoins humains selon Maslow :

Abraham Maslow (1908-1970) est un célèbre psychologue américain, considéré comme le père de l’approche humaniste, surtout connu pour son explication de la motivation par la hiérarchie des besoins, qui est souvent représentée par une pyramide des besoins :

PYRAMIDE MASLOW

Lire la pyramide depuis sa base vers le haut

Les besoins physiologiques sont directement liés à la survie des individus ou de l’espèce. Ce sont typiquement des besoins concrets (faim, soif,…).

Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui peuvent menacer. Il s’agit donc d’un besoin de conservation.

Le besoin d’appartenance fait appel à la dimension sociale de l’individu (se sentir accepté famille, travail, association, …).

Le besoin d’estime prolonge le besoin d’appartenance. L’individu souhaite être reconnu en tant qu’unité au coeur des groupes auxquels il appartient.

Le besoin de s’accomplir est selon Maslow le sommet des aspirations humaines. Il vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement.

Selon Jacques Salomé, les besoins des enfants :

PYRAMIDE SALOME

Lire la pyramide depuis sa base vers le haut .

Il  a travaillé lui aussi sur les besoins, lus spécifiquement sur ceux des enfants…et si on y regarde bien, les thèmes sont assez proches. Il a, selon moi, beaucoup plus détaillé le grand thème du besoin d’accomplissement.

Les besoins de survie sont à la base sont des besoins vitaux primaires : manger, boire, dormir, éliminer les besoins naturels, respirer.

Le besoin de sécurité est comblé quand l’enfant est protégé, aimé, quand il est entendu et consulté, quand il peut se dire et être reçu.

Besoin de socialisation : Thème cher aussi à Jane Nelsen dans la discipline positive, ce besoin consiste pour l’enfant à trouver sa place dans la famille, à l’école et dans la société.

Besoin de reconnaissance : L’enfant a besoin de se sentir utile au bon fonctionnement de la classe, de a vie de famille, il a besoin de faire avec mais aussi de faire seul.
Jane Nelsen complète en notant que leur présence est désirée et utile.

Besoin de différenciation : L’enfant a besoin que soit reconnus ses propres pensées, ses propre émotions, ses propres goûts, même s’ils sont différents de ceux de ses parents.

Besoin d’évolution : L’enfant puis l’adolescent évolue, se développe, ses besoins suivent chaque étape de ce développement.

Besoin d’individuation : Les enfants ont besoin de relations dans le moment présent et personnalisées. Ils n’ont pas besoin de réponses valables pour tous, les enfermant dans une uniformité.

Besoin de réunification : L’enfant a besoin de sentir qu’il est un tout indivisible malgré ses apparentes contradictions ou oppositions. Il a besoin que ses parents lui disent qu’il est normal d’éprouver des sentiments conflictuels (par exemple, besoin d’autonomie en même temps que besoin de soins au moment de l’adolescence).

Rappelons que les besoins non comblés sont à l’origine des émotions négatives. Les désirs non comblés peuvent engendrer un peu de frustration (n’est-il pas utile d’avoir pu appréhender un peu de frustration avant la vie d’adultes ?)