CADEAU !

En ces temps où revenir à soi est juste incontournable, prenons le temps de le faire avec une méthode.

Il est question de calme, oui, mais pas seulement.
Il est question de redécouverte de soi, en profondeur.

Une approche vraiment forte, intense, qui fait du bien aussi, adaptée à tous.

Pour sa version GRATUITE, après vous être inscrits sur la plateforme, utilisez le code : Rubis

Suivez les audios à VOTRE Rythme, dès que vous vous sentez à l’aise avec un niveau, un audio, passez au suivant.
Choisissez un moment de calme, un moment pendant lequel vous ne serez pas dérangés, ou pratiquez avec les enfants, c’est possible.

Il m’importe de vous être utile pour maintenant, mais aussi pour préparer les temps de reprise, de vous accompagner d’une manière ou d’une autre.

Je reste joignable pour tout échange, si vous en ressentez le besoin. Sentez-vous libre de partager, si le coeur vous en dit.

Belle et douce journée !

https://reveiller-votre-potentiel.didacte.com/…/4967/descri…

Etiquettes VS Besoins

Nous avons une tendance naturelle à faire des classification, à porter une sorte de jugement sur le comportement d’autrui, et nous mettons des étiquettes.

Plusieurs approches , dont celle de la discipline positive, nous enseignent comment et pourquoi un enfant (c’est aussi valable pour les adultes !) pourquoi certains ont ce qu’on appelle un comportement inapproprié.

Ce comportement répond à un besoin à nourrir.

BOUGRIBOUILLONS en a fait un joli visuel que j’ai le plaisir de vous partager :

 

PAPAPOSITIVE a proposé un autre visuel sous une autre forme, et qui donne pas mal d’infos intéressantes :

Je vous invite encore à lire “la discipline positive” de Jane Nelsen …

L’intelligence émotionnelle

C’est ainsi qu’on nomme la capacité qu’a l’humain à avoir conscience de ses émotions, à être en mesure de les accueillir, de les comprendre et de s’en servir pour avancer au mieux, vers une version de la vie qui lui  convienne.

Nos émotions ET celles des autres…

Pour ceux (parents ou enfants) qui suivent ou ont suivi  un programme Encéfal®, pour développer cette intelligence, on va donc devoir s’appuyer sur  nos amis Solo et Sami, mais aussi sur Manuel.

Solo, c’est celui qui se connaît bien, qui aime prendre soin de lui,

 

Sami, c’est celui pour qui le lien à l’autre a une grande place dans son mode de fonctionnement, Comprendre ce que vit l’autre et ainsi développer son empathie fait aussi partie de l’intelligence émotionnelle.

Manuel pour lui, son génie passe par son corps.

Les émotions partent du corps puis son analysées par le cerveau.
Si elles sont nos alliées (et pas nos ennemies, pas du tout !), encore faut-il les accueillir comme on  accueillerait son meilleur ami. Celui qui parfois vous dit des choses désagréables, mais qui veut votre bien…

Eh bien, les émotions, c’est pareil !

Agréables ou désagréables, ce qu’elles vous indiquent, c’est ce qui est bon pour VOUS. De manière TOTALEMENT subjective, puisque teintées par vos valeurs, votre culture, vos objectifs réels.

Les accueillir, puis les comprendre , comprendre ce qu’elles ont à nous révéler qu’on aurait laissé passer…

Puis réussir à les nommer, Ici, c’est notre amie Mollie, la championne des mots (dans les suivis EnCéFAL®) qui fait son entrée ! Trouver le mot juste pour faire baisser la pression que peut provoquer cette émotion qui vient de monter en conscience. Puis enfin exprimer, à sa juste intensité de manière adéquate en tenant compte du contexte …
C’est tout un processus qui peut s’apprendre.

C’est tout un processus qui aide et soutient dans la vie de tous les jours pour avancer sur un chemin JUSTE pour soi, en accord avec soi-même.

 

On peut donc s’appuyer sur quelques-unes des préférences cognitives qu’on connait pour développer son intelligence émotionnelle : Linguistique (Mollie), Kinesthésique (Manuel), Intrapersonnelle (Solo) et interpersonnelle (Sami).

Si les enfants n’ont aucune idée de l’intensité de ce qu’ils vivent (voir les travaux de C. Gueguen), ils reconnaissent assez facilement le registre de l’émotion, et en tant que parents, vous pouvez :

  • Montrez l’exemple : Accueillez vos propres émotions…
  • Acceptez leurs émotions (votre émotion-réaction à un événement n’est pas forcément la même que la leur, acceptez le),
  • Accompagnez-les à découvrir le vocabulaire adéquat,
  • Montrez-leurs qu’ils savent déjà décrypter ce que les autres ressentent et que ça a du sens de s’y intéresser… ça s’appelle l’empathie (ça fait partie du BON du Beau Bien Bon)

 

Enfin, pour finir, voici les 5 habilités à travailler pour développer l’intelligence émotionnelle :

 

“C’est vous qui le dites” : Ilona 15 ans

Ilona a 15 ans, elle est hypersensible selon ses parents et ses proches.
Depuis toute petite, elle sur-réagit aux choses qu’elle vit. “Même le simple souvenir de la peur peut la faire fondre en larmes.”
Elle peut pleurer quand elle est très heureuse aussi !
Elle connaît bien les intelligences multiples, ses parents lui avaient déjà bien expliqué.
Elle n’a pas été diagnostiquée “Enfant Précoce Intellectuellement”, néanmoins, elle présente un profil assez proche d’enfants dits à Haut Potentiel. Si ses résultats scolaires reflètent ce qu’elle peut faire, Ilona n’aime pas vraiment l’école … mais dit en souriant : “si ça doit être fait, autant que ce soit bien fait!” Ses années collège se sont soldés par 12 trimestres de félicitations. C’est une personne calme, assez silencieuse, douce et discrète.
Ce qui nous amène à discuter, c’est vraiment sa sensibilité exacerbée.
Je lui présente les émotions de base, leur utilité et l’importance de les accueillir ces émotions, et je l’invite à explorer en rentrant chez elle, en lui donnant une base de vocabulaire à propos des différentes émotions qu’elle pourrait éprouver, l’invitant à chercher de son côté d’autres mots “justes” pour décrire ses ressentis.
On aborde la pratique de l’attention.
“Bon, si j’ai bien compris, j’accueille les émotions comme je regarderais des nuages dans le ciel même si je préfère le beau temps”
Ok…
“Et je détaille chaque chaque nuage, sa couleur, sa forme, sa densité, et la vitesse à laquelle il passe, et je peux aussi voir leur utilité … même si je préfère un grand ciel bleu…”
🎯 en plein dans le mille!

les ados sont formidables

Suite à ces rencontres (2 rendez-vous pour Ilona), la maman a pu constater qu’elle sent sa fille mieux dans sa peau.
La maman a décidé de faire de la pratique de l’attention une activité commune avec sa fille, et elles partagent un moment, ensemble au calme tous les soirs.
Elles partagent aussi beaucoup en famille sur les émotions, maintenant.
Je reste à leur écoute pour une éventuelle suite si elles en ressentent le besoin, et quand elles en éprouveront le besoin.

Intelligence Émotionnelle

L’intelligence émotionnelle est définie comme une « Habileté à percevoir et à exprimer les émotions, à les intégrer pour faciliter la pensée, à comprendre et à raisonner avec les émotions, ainsi qu’à réguler les émotions chez soi et chez les autres. » (Mayer et Salovey, psychologues américains, 1997)

C’est donc savoir exprimer ses émotions et aussi la capacité à les percevoir, à en prendre conscience, à les comprendre (notamment comprendre l’origine de cette émotion), à les formuler, à les accueillir, les respecter puis à les explorer et à les utiliser de manière appropriée pour nous-même et dans notre relation aux autres pour qu’elles soient entendues.

Cette attitude, qui permet de développer la conscience de ce qui se passe à l’intérieur de soi mais également des autres, est donc à encourager dès le plus jeune âge pour savoir adapter son comportement en conséquence.

En effet, le développement émotionnel permet d’interagir avec autrui, de communiquer, de partager afin de réagir avec justesse et d’établir des relations sécurisées.
Il permet de se comprendre soi-même et de mieux comprendre l’autre, de progressivement  saisir son point de vue et ce qu’il ressent : c’est l’empathie.

Green Power et Mémoire

Selon une étude menée par des chercheurs espagnols et publiée en juin 2015, vivre entouré de verdure serait bon pour les enfants.

Concrètement, profiter de la nature permettrait d’augmenter les capacités de mémorisation et d’attention des plus jeunes.

Les chercheurs de l’université de Barcelone ont observé pendant plus d’un an, 2.593 écoliers âgés de 6 à 10 ans dans 36 écoles de la ville.
Tous les trois mois, les scientifiques évaluaient le développement cognitif de ces enfants en fonction de leur exposition aux espaces verts présents à l’école ou proches de leur domicile. 

 

L’exposition à la verdure aurait ainsi augmenté de 5% la mémoire de travail (capacité de retenir les informations à court terme) des enfants qui sont régulièrement au contact de la verdure.

Payam Dadvand, coauteur de cette étude ajoute : “l’environnement naturel, dont les espaces verts font partie, fournit aux enfants des opportunités uniques telles que l’incitation à l’engagement, la prise de risques, la découverte, la créativité, la maîtrise des situations, le renforcement de l’estime de soi. Il améliore les aptitudes psychologiques qui sont censées influencer de façon positive différents aspects du développement cognitif”.
L’étude a aussi démontré que les bénéfices de l’exposition à la nature sont aussi en partie dus à l’exposition à un air moins pollué.

C’est vous qui le dites : Jennifer, maman de Lehna 7 ans

“Lehna est une petite fille âgée de 7 ans qui avait de très grosses difficultés scolaires, elle était tête en l’air, pas concentrée du tout, lui faire faire une simple lecture de 3 lignes pouvait me pendre jusqu’à 2 heures.
L’apprentissage des jours de la semaine, par exemple lui a pris 2 ans.
Aujourd’hui grâce au travail effectué avec Stéphanie, Lehna est contente d’aller à l’école, elle me demande tout le temps de travailler, elle est plus concentrée et elle a découvert que lire était facile, il fallait juste trouver la bonne clef et adapter le travail en fonction d’elle … Les devoirs d’école se font en 20 min grand max contre plusieurs heures auparavant tout ça avec le sourire et non plus des pleurs.
Je n’avais pas encore dit à la maîtresse que Lehna suivait la méthode EnCéFAL® ; Aujourd’hui, j’avais rendez-vous avec elle et elle m’a dit que Lehna s’était améliorée, qu’il fallait qu’elle continue ainsi.
Lehna est fière d’elle et n’a qu’une envie c’est de continuer et donner tout ce qu’elle a.
Merci Stéphanie”

Merci Jennifer pour ton témoignage !

À ce jour, nous avons fait Lehna et moi 7 séances EnCéFAL®- en ligne, chaque mercredi matin.
En parallèle, j’ai fait le point avec Jennifer sur les jeux dont les enfants disposent à la maison. Je lui ai conseillé certains à privilégier compte tenu du profil intelligences multiples de Lehna.
À chaque fin de séance, nous prenons 10mn pour faire le point, nous parlons pratique de l’attention, connaissance et accueil des émotions, par exemple. Nous faisons un travail commun qui demande à la famille de s’impliquer autrement…en jouant, en comprenant le mode de fonctionnement de chacun, en pointant, notamment, tous les efforts effectués.

Améliorer la relation parent-enfant avec la pratique de l’attention.

Des chercheurs se sont intéressés aux effets de la pratique de la mindfulness (pratique de l’attention) dans le cadre de la relation parent-enfant chez des enfants diagnostiqués avec une troubles de l’attention et de l’hyperactivité (TDAH).

Chez ces enfants, les difficultés d’obéissance amènent souvent les parents à exercer un contrôle sur leur enfant, aboutissant parfois à une augmentation de l’opposition de l’enfant.
Cette situation d’opposition empêche l’enfant de développer lui-même des stratégies d’auto-régulation.

Cette étude suggère que l’entraînement à la pleine conscience pour les mères et leur enfants, diagnostiquées TDAH améliore la relation mère-enfant.

De plus, elle indique que l’amélioration commence dès que la mère s’engage dans la pratique, avant même que l’enfant ne pratique la pleine conscience lui-même.

Les résultats sont encore améliorés lorsque l’enfant débute la pratique.


En pratique :

Le programme de suivi individuel Beau Bien Bon tend à amener les participants vers la pratique de la pleine conscience (observation éclairée de soi).

Pleine conscience de son hygiène de vie,
Pleine conscience du jeu,
Pleine conscience du Beau Bien Bon de la vie.

Source EnCéFAL®️

 

Plus d’informations

contact@stephanieminati.fr