Les managers optimistes

Les managers les plus enthousiastes sont aussi ceux qui tirent le meilleur de leurs collaborateurs. C’est un fait.
Les entreprises ne s’y trompent pas : l’enthousiasme est une qualité de plus en plus recherchée chez les cadres.

Les Français seraient pessimistes?

Comprendre les racines du pessimisme français : La faute en reviendrait essentiellement à Voltaire et son imbécile heureux de Candide.
Pourtant aujourd’hui, tout nous montre qu’être optimiste, c’est bon !

Pour le moral évidemment, pour la santé également mais aussi pour sa carrière

Le constat n’est pas nouveau : dans les années 80, le psychologue Martin Seligman avait déjà démontré le pouvoir de l’optimisme au travail, en comparant les résultats des ventes des optimistes à ceux des pessimistes :

Les plus optimistes vendaient presque 40 % de plus que les autres et leur taux de turn-over était deux fois moins élevé.

Idem chez les managers, voici le portrait robot du manager optimiste :

  • Il fait ressortir les “points forts” de ses collaborateurs.
  • Le manager optimiste ne s’attarde pas sur les échecs et “les raisons de la défaite”.
  • Il oriente vers la recherche de solutions.
  • Il aime prendre ses collaborateurs en flagrant délit de réussite, félicite les victoires.
  • Il pousse à la persévérance et à la prise de risque.

Alors, et si on dopait votre optimisme ?
Il y a tellement de bonnes raisons de devenir plus optimiste …

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Un cursus dédié aux parents

Cette semaine, un projet en gestation depuis plusieurs années a vu le jour…

Après avoir proposé des ateliers de groupe en présentiel pendant plusieurs années ainsi que du coaching parental, voici la version “on line”  vous proposant découverte et expérimentation  :
Pas à pas vers une nouvelle parentalité, réenchantez la relation parent-enfant !

Pour accéder à la plateforme en ligne, cliquez sur l’image  :

Une étude menée auprès d’enfants à haut potentiel

Durant près de trois ans, une étude a été menée au CERMEP (Centre d’Imagerie du Vivant) de Lyon par Fanny Nusbaum, docteur en psychologie, chercheur en neurosciences et dirigeante du Centre PSYRENE, et Dominic Sappey-Marinier, chef du département IRM du CERMEP-Imagerie du Vivant, enseignant de biophysique à la Faculté de Médecine Lyon-Est, et chercheur en imagerie médicale à CREATIS de l’Université Claude Bernard-Lyon1. Cette étude a analysé l’anatomie et les spécificités fonctionnelles du cerveau des enfants dits à « haut potentiel ».

Cette étude démontre clairement que les enfants à « haut potentiel » (QI>130) présentent une connectivité cérébrale bien plus importante que les enfants au QI standard dans plusieurs régions cérébrales comme le corps calleux qui relie les deux hémisphères et dans différents faisceaux intra-hémisphériques. Donc, le transfert d’information est plus rapide au sein d’un même hémisphère mais aussi d’un hémisphère à l’autre.

Il y aurait 2 profils type  « haut potentiel » :

  • Le Complexe montre des capacités plutôt hétérogènes.
    -Il est plus créatif, plus visionnaire, mais aussi plus sujet aux difficultés d’apprentissage et de relations sociales, ainsi qu’à la dyslexie ou la dyspraxie.
    – connectivité plus élevée dans l’hémisphère gauche, l’hémisphère du langage,
    – plus centrés sur eux-mêmes, plus indépendants, et donc moins adaptés socialement.

 

  • Le Laminaire montre des capacités plutôt homogènes.
    -Il est plus solide et adaptable, mais aussi plus sujet à l’anxiété de performance, au surmenage et à certaines addictions à partir de la fin de l’adolescence.
    – utilisent plus l’hémisphère droit, l’hémisphère qui contrôle les capacités visuo-spatiales et permet une analyse objective,
    – ouverts sur les autres, davantage dans l’empathie.

Comment les aider, les accompagner ?
Dominic Sappey-Marinier répond à cette question :

« Par exemple, un « Complexe » à l’imagination débordante sera plus sensible à l’hypnose, alors que celui qui souffre d’inhibition ou d’un déficit d’attention aura davantage intérêt à faire de la remédiation cognitive. A l’inverse, l’hypnose sera très utile au « Laminaire », pour développer l’imagination, le reconnecter avec son moi intérieur. »

 

Retrouvez l’article original  ici