LEAA® et les libérations émotionnelles

Formée à cette méthode en été 2018, je l’utilise essentiellement pour reconnaitre et libérer des émotions anciennes et bloquantes.

La méthode LEAA ® propose une libération énergétique visant à rétablir l’équilibre énergétique du corps, à le libérer des blocages émotionnels et contribuer à lui redonner son plein potentiel.

C’est une méthode entièrement naturelle, non invasive et n’impliquant pas l’usage de médicaments.

La méthode LEAA ne se substitue pas à un traitement médical.  La personne suivant un programme LEAA ® s’engage à poursuivre les traitements et recommandations de son médecin.

Cette méthode est aussi efficace en présentiel qu’en ligne (avec webcam).

Sophrologie Reconnective

Depuis 2015, je me forme à la sophrologie. Déjà relaxologue certifiée, ce qui fût une première étape, je finis mon cursus de sophrologie bientôt, et je m’intéresse tout particulièrement à la sophrologie reconnective :

Pourquoi reconnective ?
Elle mène à la reconnexion avec soi-même et son propre environnement.

Mes divers suivis en coaching m’ont vraiment donné envie  et montré le besoin d’une telle technique : de la sophrologie, de la pleine conscience pour une redécouverte de soi, tout en douceur et avec AMOUR.

Outil de mieux-être
et
de développement personnel

La Sophrologie reconnective c’est d’abord un outil de connaissance de Soi, et plus encore :

Un outil de reconnexion à soi en tenant compte de ce qui nous entoure.

C’est une méthode d’éveil et de croissance personnelle basée sur des outils de Sophrologie et de pleine conscience. La Sophrologie reconnective nous permet de placer notre corps physique et psychique dans un état de profonde relaxation, de calmer le flux des pensées et celui des émotions.
Découvrir le niveau Sophroliminal, à la frontière du sommeil : entre l’éveil et le monde des rêves.

C’est alors l’état idéal pour dépasser notre cadre de conscience ordinaire afin d’atteindre un état de conscience particulier qui facilite la reconnexion avec ce que certains appellent la Source ou le Soi véritable.

La particularité de cet état est qu’il permet de découvrir en nous les solutions que notre mental seul n’est pas en mesure de discerner.

La sophrologie reconnective apporte  mieux-être, harmonie et plus de confiance en soi en nous proposant de rééquilibrer nos différents plans : corporel, émotionnel, mental et interpersonnel. Elle a permis à certains qui en avait besoin, de dépasser la douleur.

Un travail multisensoriel en douceur et en profondeur.

Vous êtes à la recherche de sérénité, d’apaisement, de directions, de réponses dans la vie ?
Tout ceci est déjà en vous, à l’intérieur de vous, la sophrologie reconnective vous donne la possibilité de vous reconnecter à vous-même.

Un parcours initiatique sous forme d’audios en 7 couleurs, c’est par ici .

Si cette approche vous intéresse, et que vous trépignez déjà d’impatience d’en savoir plus, parlons-en !

 contactez-moi

Autour de la parentalité, la rentrée sera FUN & POSITIVE ! …

Issu de nos expériences et de nos formations respectives, conçu à 4 mains :

Un nouveau concept pour les parents et les familles :

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau ET BVA ont interrogé les français sur leur cerveau

Ce sondage a été réalisé début 2018 par BVA en collaboration avec la FRC et Grand M qui a réalisé l’infographie. Il se compose de deux échantillons :
– Un échantillon de 43 scientifiques experts du domaine : neurologues, neurobiologistes, psychiatres, chercheurs en neurosciences, tous membres des Conseils Scientifiques de la FRC et de ceux de ses associations et fondations membres.  Ils ont été contactés par la FRC et interrogés en ligne du 11/12/2017 au 05/01/2018.
– Un échantillon de 1001 personnes, représentatif de la population Française de 15 ans et plus, interrogées par internet du 08 au 14/12/2017.

J’y ai pris les parties qui m’intéressent pour ce partage et vous pouvez consulter l’article dans sa totalité  ici

Le cerveau et sa santé, son fonctionnement intéressent beaucoup les français. Si 45% sont inquiets pour la santé de leur cerveau, on peut constater qu’une écrasante majorité est en mesure de citer au moins 1 maladie du cerveau qui les préoccupe !

Préoccupation qui peut amener un certain intérêt pour le sujet de la santé et d l’hygiène de cet organe central :
Dans l’infographie suivante on peut constater les disparités entre les réponses des experts et celles des français sur les principaux facteurs de risques :

Si les Français sondés ont bien conscience des dangers de certains facteurs comme l’alcool par exemple, ou la drogue qui est placé à un niveau presque équivalent à celui des experts ou le tabac, les plus grandes disparités reposent sur la notion de stress (les experts placent le stress à 60%, comme facteur de risque, les Français à 38) ou l’activité physique (40% pour les experts-23% pour les Français).

Et lorsqu’on leur demande d’associer certains facteurs de risques  à plusieurs organes, ils ne pensent pas forcément que le cerveau peut être concerné, c’est cas pour l’alimentation équilibrée et l’activité physique, qui sont pourtant 2 bases essentielles de l’hygiène du cerveau.

A priori, vous êtes prêts et même demandeurs pour en savoir plus sur ce que vous pouvez mettre en place pour préserver et optimiser vos capacités cérébrales :

Je peux vous accompagner sur une majorité de ces sujets :

  1. L’alimentation : en cours de formation de nutrition, je peux dores et dejà vous guider dans ce domaine.
  2. La gestion du stress, relaxologue et formée au Mindfulness, je vous donnerai les clé pour prendre conscience de vos tensions et compréhension de vos émotions pour libérer votre cerveau,
  3. Le lien entre hygiène de vie et santé du cerveau grâce à la formation à Encéfal® que j’ai reçue en 2015 et que j’utilise avec chacune des personnes qui me sollicitent .

En individuel ou en groupe avec des amis ou en entreprise, abordons ce sujet !

contact@stephanieminati.fr

Besoins, … vous avez dit besoins?

Un des premiers sujets à aborder une fois que l’importance des émotions est évoquée concerne la notion de besoins.
La première question à poser aux parents, ou accompagnants d’enfants, est :
Quelle est la différence entre besoin et désir (ou envie) ?

Voici une anecdote pour illustrer la différence :
Arthur a très envie de jouer dehors avec ses copains. Il est 19h, et il est temps de rentrer car il a besoin :

  • de dîner,
  • de faire sa toilette,
  • d’aller dormir.

Accompagner l’enfant pour qu’il se connecte à ses besoins en priorité.

Notre rôle d’accompagnant, d’adulte bienveillant proche d’un enfant est de faire en sorte qu’ils soient conscients de leurs besoins et que ces derniers soient respectés.

« Le propre d’un besoin, c’est qu’il a besoin d’être satisfait sinon notre intégrité physique ou psychologique est en danger. On pourrait dire que les besoins sont antérieurs aux désirs, qu’ils sont présents dès l’origine de la vie.
Le propre d’un désir, c’est qu’il a “besoin” d’être reconnu, entendu, pas toujours satisfait même si le désir d’un désir est d’être comblé ! » Jacques Salomé

LES BESOINS HUMAINS :

Les besoins humains selon Maslow :

Abraham Maslow (1908-1970) est un célèbre psychologue américain, considéré comme le père de l’approche humaniste, surtout connu pour son explication de la motivation par la hiérarchie des besoins, qui est souvent représentée par une pyramide des besoins :

PYRAMIDE MASLOW

Lire la pyramide depuis sa base vers le haut

Les besoins physiologiques sont directement liés à la survie des individus ou de l’espèce. Ce sont typiquement des besoins concrets (faim, soif,…).

Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui peuvent menacer. Il s’agit donc d’un besoin de conservation.

Le besoin d’appartenance fait appel à la dimension sociale de l’individu (se sentir accepté famille, travail, association, …).

Le besoin d’estime prolonge le besoin d’appartenance. L’individu souhaite être reconnu en tant qu’unité au coeur des groupes auxquels il appartient.

Le besoin de s’accomplir est selon Maslow le sommet des aspirations humaines. Il vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement.

Selon Jacques Salomé, les besoins des enfants :

PYRAMIDE SALOME

Lire la pyramide depuis sa base vers le haut .

Il  a travaillé lui aussi sur les besoins, lus spécifiquement sur ceux des enfants…et si on y regarde bien, les thèmes sont assez proches. Il a, selon moi, beaucoup plus détaillé le grand thème du besoin d’accomplissement.

Les besoins de survie sont à la base sont des besoins vitaux primaires : manger, boire, dormir, éliminer les besoins naturels, respirer.

Le besoin de sécurité est comblé quand l’enfant est protégé, aimé, quand il est entendu et consulté, quand il peut se dire et être reçu.

Besoin de socialisation : Thème cher aussi à Jane Nelsen dans la discipline positive, ce besoin consiste pour l’enfant à trouver sa place dans la famille, à l’école et dans la société.

Besoin de reconnaissance : L’enfant a besoin de se sentir utile au bon fonctionnement de la classe, de a vie de famille, il a besoin de faire avec mais aussi de faire seul.
Jane Nelsen complète en notant que leur présence est désirée et utile.

Besoin de différenciation : L’enfant a besoin que soit reconnus ses propres pensées, ses propre émotions, ses propres goûts, même s’ils sont différents de ceux de ses parents.

Besoin d’évolution : L’enfant puis l’adolescent évolue, se développe, ses besoins suivent chaque étape de ce développement.

Besoin d’individuation : Les enfants ont besoin de relations dans le moment présent et personnalisées. Ils n’ont pas besoin de réponses valables pour tous, les enfermant dans une uniformité.

Besoin de réunification : L’enfant a besoin de sentir qu’il est un tout indivisible malgré ses apparentes contradictions ou oppositions. Il a besoin que ses parents lui disent qu’il est normal d’éprouver des sentiments conflictuels (par exemple, besoin d’autonomie en même temps que besoin de soins au moment de l’adolescence).

Rappelons que les besoins non comblés sont à l’origine des émotions négatives. Les désirs non comblés peuvent engendrer un peu de frustration (n’est-il pas utile d’avoir pu appréhender un peu de frustration avant la vie d’adultes ?)

Éducation : changement de modèle ?

Si vous êtes parents, grands-parents souvenez vous du temps où un enfant n’aurait jamais osé contredire ou répondre avec impertinence à un adulte.

Aujourd’hui bon nombre d’adultes (parents, enseignants, animateurs…) sont stupéfaits devant le comportement de certains enfants.  Que s’est il passé?

Voici quelques réflexions tirées de “la discipline Positive” de Jane Nelsen :
Rudolf Dreikurs, psychiatre autrichien propose une théorie : les changements intervenus sur le cours de la vie des 3 dernières générations .

Modèles de soumission :

  • Les adultes ne sont plus, pour les enfants des modèles d’obéissance ni de soumission. Il fut un temps où les mères faisaient sagement ce que les pères leur demandaient (elles donnaient l’impression de se soumettre), c’était “comme ça” et culturellement acceptable. Dreikurs fait remarquer que“le jour où le père a perdu le contrôle sur la mère, les deux ont perdu le contrôle sur les enfants” 
  • A cette époque, tout était soumission : le père se soumettait à son patron (qui n’accordait que peu de crédit à ses opinions).
  • Aujourd’hui, les groupes minoritaires revendiquent leurs droits à l’égalité et à la dignité. Il est peu commun de trouver quelqu’un qui accepte une vie soumise. Les enfants souhaitent eux aussi être traités avec dignité et respect.

Sens des responsabilités :

  • De nos jours, les enfants ont moins d’opportunité de développer leur sens des responsabilités, leur motivation. Nous n’avons plus besoin qu’ils contribuent à notre survie ; nous leur donnons trop au nom de l’Amour, sans qu’ils aient besoin de fournir un effort, parfois même sans qu’ils aient à demander, ou à éprouver un quelconque besoin… Logiquement, ils se comportent comme si tout leur était dû.
  • Trop souvent les parents surprotègent leurs enfants, les mettant dans une bulle afin de les protéger de toute déception ; ils n’ont donc aucun moyen de développer leurs capacités à faire face aux aléas de la vie.
  • On oublie aussi très souvent à quel point il est important pour un enfant de contribuer, de participer au quotidien. Faire son lit, débarrasser la table, faire la vaisselle (vider  le lave vaisselle) : en agissant pour eux, nous leur retirons l’opportunité de sentir qu’ils ont une place, apporter une contribution significative, c’est se sentir utile, responsable.

L’éducation bienveillante s’appuie sur des études qui montrent que lorsque les enfants se sentent bien, ils ont tendance à se comporter de manière appropriée et quand ils se sentent mal, ils sont beaucoup plus susceptibles d’avoir des comportements pouvant être qualifiés d’inappropriés. Ils expriment de cette manière des besoins insatisfaits…(attention à la différence entre besoin et envie/désir!)

La bienveillance est la disposition affective d’une volonté qui vise le bien et le bonheur d’autrui, aujourd’hui et pour plus tard.

Eduquer avec bienveillance, c’est avoir connaissance du développement psychomoteur de son enfant et lui demander ce qu’il est en capacité de comprendre, de faire ;

C’est entendre les besoins essentiels de l’enfant ;

C’est l’aider à comprendre ses ressentis, ses émotions ;

C’est prendre le temps de poser des règles, de les commenter, de s’assurer qu’elles sont comprises. Susciter la coopération ;
C’est aussi utiliser un panel d’outils pour faire respecter les règles de vie, les valeurs de la famille.

Enfants : retour au calme …

L’idée est de proposer aux enfants un espace, un moment de retour au calme en toute bienveillance.

Les différentes approches efficaces à tester avec vos enfants (moduler en fonction de ce qui fonctionne le mieux avec lui) :

  • Un verre d’eau fraîche bu doucement , un groupe de 3 respirations abdominales,
  • l’OURS des émotions : reconnaître son émotion, et aussi savoir qu’on est entendu…
  • une boîte à émotion
    • un coussin doux, ou une peluche douce qui procure une sensation de réconfort.
    • un objet sur lequel souffler afin de réguler sa respiration et se concentrer sur l’inspiration et l’expiration,
    • un casque ou des écouteurs pour isoler l’enfant des bruits extérieurs et lui permettre de s’isoler dans sa bulle, avec une musique choisie pour un retour au calme en autonomie (relaxation, musique douce…).
  • Méditation :

http://https://youtu.be/JwRjwDluA30

  • Faire des câlins ! (déclenche l’ocytocine : Cette hormone diminue le stress, favorise l’empathie et développe un sentiment de confiance!)
  • s’étirer, faire du yoga

http://https://youtu.be/hyTx0P2WiFE

Ainsi, avec cet accompagnement de retour au calme, l’enfant apprend à accepter et à gérer ses émotions et dispose des moyens de se calmer. Sous votre regard bienveillant.

Émotions “positives”

Nous sommes programmés pour détecter le négatif (une question de survie de l’espèce héritée de nos ancêtres), alors une seule remarque négative a plus d’impact que 10 idées positives.
Il est donc particulièrement important d’utiliser des paroles positives lorsqu’on s’adresse à quelqu’un, et aussi de créer soi-même ses propres émotions positives (les 3B du bonheur : le Bien, le Beau, le Bon)

Avantages :

  • Stimulation de la créativité
  • Réduction des toxines
  • Réduction du stress
  • Travail plus rapide et plus précis, efficace
  • Sécrétion de neurotransmetteurs (comme la dopamine et les endorphines). Ceux-ci dynamisent nos capacités d’apprentissage. Ils stockent également mieux les informations, ce qui nous permet de mieux retrouver celles-ci par la suite.
  • Le cortex visuel (qui pilote la vue) enregistre plus de détails.

 

Il est possible de créer des émotions positives :

  • Visualiser le meilleur, (« le meilleur est à venir »)
  • Créer des images, des sensations agréables
  • Etre encouragé
  • Rire
  • Se souvenir de moments heureux
  • Ecouter un morceau de musique qui nous plaît…

Comme tous les changements de notre vie, quand on commence, il faut produire un effort, puis au bout de quelque temps, ça devient naturel.

Créer des émotions positives est important pour nous adultes et parents, comme pour nos enfants. à utiliser sans modération !

Reconnaître ses émotions

L’idée est reconnue par les plus grands spécialistes, les émotions non entendues ou trop « bruyantes » peuvent perturber le processus d’apprentissages, ainsi que les comportements au quotidien. Il est intéressant de pouvoir travailler avec nos enfants sur ce sujet.

Voici quelques idées pour découvrir les émotions que votre enfant peut rencontrer, les lui faire découvrir, pour qu’il puisse les nommer, les comprendre et en parallèle établir une connexion avec un adulte à l’écoute qui pourra le guider et lui expliquer ce qu’il ressent et ce qu’il peut faire de tout cela :

  • Le panneau de visages :

Il est amusant, déniché pour vous sur internet (learnfrenchlab.com)

emotions


  • Fabriquer son ours des émotions

moodbear

Participer à la conception d’un outil que votre enfant aura à proximité pour exprimer ce qu’il ressent, est la première étape pour ensuite écouter, pour comprendre (pas pour répondre!).

moodbear_bastel

Il vous suffit de l’imprimer, de faire quelques découpages et d’ajouter quelques points de colle  !


  • Le Face-book  /  livre des visages ! : idée amusante de bricolage de vacances ou du week-end !

Prendre une liste d’émotions (celle qui figure plus haut, par exemple)

Demander à votre enfant de prendre la pose pour chaque émotion (qu’il connait d’abord, puis celles dont il ignore le nom, avec quelques explications-rappels de faits, par exemple)

Imprimer chaque photo, la coller une du bristol un peu plus grand en écrivant le nom de l’émotion juste en dessous

Assembler les pages (perforer les pages et passer de la ficelle, du bolduc, des anneaux de porte-clefs…)

Votre enfant possède son face-book, vous pouvez l’avoir à disposition pour vous créer du lien, si un émotion le submerge pour qu’il vous raconte… Votre oreille attentive (sans minimer ce qu’il ressent, ni l’amplifier. JUSTE de l’attention), et l’aider à chercher des solutions pour avancer avec / grâce à cette émotion.

Ce qui est essentiel, c’est de savoir analyser l’émotion ressentie. Bon nombre de comportements d’enfants ou d’adultes, comportements dits déviants ne sont que la traduction d’émotions non entendues, non gérées.