Comment le jeu façonne le cerveau

Dans Cerveau & Psycho de ce mois d’Avril 2018 :
 
Comment le jeu façonne le cerveau !
 

Jouer librement est d’une importance capitale pour le développement cognitif et social ;

 

 
COOPÉRATION – LANGAGE – RÉSOLUTION DE PROBLÈMES – PENSÉES CONTREFACTUELLES – MAÎTRISE DE SOI – NEUROGÉNÈSE – COMPÉTENCES SOCIALES – PALETTES D’EXPRESSIONS – RÉDUCTION DE L’ANGOISSE – GESTION DES CONFLITS – PENSÉE MATHÉMATIQUE – ATTENTION – CALME

Ajoutons-y toute une gamme de stimulations diverses : 
  • les intelligences multiples,
  • les différentes formes de mémoire,
  • les différentes fonctions exécutives,
  • les émotions agréables,…

 

Vous souhaitez en savoir plus, ou utiliser les jeux pour stimuler et harmoniser vos intelligences, stimuler votre mémoire, et vos fonctions cognitives (flexibilité, planification…)?
Vous souhaitez découvrir comment les jeux peuvent vous aider au quotidien, dans les apprentissages ou dans votre travail?
 
Sentez-vous libre de me contacter :
 
contact@stephanieminati.fr

IKIGAÏ

Dans la région d’Okinawa au Japon, l’Ikigai fait partie de la culture, et désigne la « raison d’être » de chaque vie.

Chercher son Ikigai, c’est un travail personnel qui pousse à fouiller en  soi et regarder ce qui est réellement important pour nous-même, notre usine à bonheur en somme !

Ikigaï est composé de 2 idées en japonais :   (生き) « Iki », la vie, et  (甲斐) « Gaï » qui signifie littéralement « la réalisation de ce que l’on attend et espère ».

L’approche particulière d’IKIGAÏ est de vouloir se positionner en tant qu’acteur de notre vie, en son centre, au croisement de nos différents intérêts.

Il conjugue passion, profession, vocation et mission.

Il nous permet de décortiquer et d’analyser point par point ce qui nous met en mouvement, de mettre un mot sur ce qui nous intéresse, et de bien différencier chaque aspect de notre vie:

  • Ma passion est-elle ma profession?
  • Ma vocation aide-elle les autres?
  • Ma passion doit-elle être utile au monde?

Identifiez chacun des cercles, puis leurs croisements, et trouvez progressivement votre Ikigaï.
C’est un travail long, qui demande de la patience et de la persévérance.
Il est tout de même possible que vous ayez déjà les réponses à certaines des questions :

  • Qu’aimez-vous ?
  • Pour quoi êtes-vous doué.e ?
  • Pour quoi pouvez-vous être payé.e ?
  • De quoi le monde a-t’il besoin ?

-> Au centre vous trouverez votre ikagaï.

Si vous éprouvez le besoin de faire ce travail accompagné, sentez-vous libre de me contacter !

contact@stephanieminati.fr

Le bonheur au travail

Shawn Achor, une des figures majeures de la psychologie positive, traite dans un de ses livres (ref plus bas) des 7 principes qui vont permettre de développer le bonheur de manière progressive et efficace :
  • L’atout bonheur : C’est le bonheur qui permet la réussite, et non pas l’inverse.
  • Le point d’appui : Notre état d’esprit modifie les résultats objectifs et les conséquences de nos expériences.
  • L’effet Tetris : Le fait de se focaliser sur les problèmes au travail nous entraîne à repérer ce qui ne va pas dans tous les domaines de notre vie. S’entraîner à chercher le positif peut avoir l’effet inverse. On développe alors la créativité, la motivation, l’efficacité et le bonheur.
  • Le rebond : La manière dont on gère les difficultés et les échecs va influencer notre bonheur. Avoir une vision optimiste des événements focalisée sur le positif, rend les choses plus faciles et nous aide à rebondir.
  • Le cercle de Zorro : L’idée est ici de reprendre le contrôle en prenant conscience de ses émotions et en s’attaquant à des objectifs raisonnables. De cette manière on peut avancer progressivement et être plus efficace et heureux petit à petit (voir la technique des petits pas, “le Kaizen”). Avoir une approche qui se focalise sur des buts atteignables permet de progresser en développant ses compétences.
  • La règle des 20 secondes : Si vous voulez créer une nouvelle habitude, vous allez devoir essayer de l’intégrer dans votre routine quotidienne le plus facilement possible et en économisant le plus d’énergie possible. Cela signifie : moins il vous faudra de temps pour la réaliser (dans l’idéal 20 secondes ou moins), et plus vous serez motivé à la faire.
  • L’investissement social : Protéger et développer le lien social est extrêmement important dans l’épanouissement personnel et le bonheur. Le lien social permet d’être plus heureux, mais le fait d’être à l’écoute des autres est également très positif pour le bonheur et la réussite professionnelle.
Chaque point présente des expériences scientifiques de manière très accessible. Des techniques concrètes pour mettre en application les enseignements de ces recherches sur le bonheur sont également proposées.
Shawn Achor : « Comment devenir un optimiste contagieux ».

Intuition … Quid?

LAROUSSE :

Connaissance directe, immédiate de la vérité, sans recours au raisonnement, à l’expérience.

PHILO :

♦ [Chez Kant et ses héritiers] Connaissance immédiate d’une réalité présente actuellement à l’esprit.

[L’obj. de l’intuition est une réalité existant en soi, transcendante] Intuition intellectuelle. Le noumène au sens négatif est la chose en soi, en tant qu’elle n’est pas objet de notre intuition sensible. Le noumène au sens positif est la chose en soi, en tant qu’elle est objet d’une intuition intellectuelle (R. Verneaux, Critique de la raison pure de Kant, Paris, Aubier Montaigne, 1972, p. 163). (Noumène = terme Kantien emprunté à Platon désignant l’idée en tant qu’objet pur de l’entendement)

[L’obj. de l’intuition est fourni par la sensibilité] Intuition sensible. Ce que Kant exprime en disant que toutes nos intuitions sont sensibles, ou, en d’autres termes, infra-intellectuelles. Il n’y a que des intuitions sensibles et point d’intuitions intellectuelles, du moins pour l’homme. Dans une intuition intellectuelle en effet, l’esprit se donnerait à lui-même l’objet qu’il voit; mais un tel mode de connaissance n’appartient qu’à l’Être suprême; l’intuition humaine suppose qu’un objet est donné qui affecte notre esprit.

♦ [Chez Bergson] Un absolu ne saurait être donné que dans une intuition, tandis que tout le reste relève de l’analyse. Nous appelons ici intuition la sympathie par laquelle on se transporte à l’intérieur d’un objet pour coïncider avec ce qu’il a d’unique et par conséquent d’inexprimable .

Bon… 👀‼️

 

👉une approche pragmatique?…

L’intuition, celle en qui on peut avoir confiance,  comporte ces 3 bases :

le coeur, le corps, la tête.

✅ Le coeur : les émotions sont des indicateurs auxquels on pense rapidement quand il est question d’intuition. Savoir les reconnaitre, pour guider vers les besoins essentiels.

✅ Le corps : les sensations, ce qui passe par le corps. Le corps peut donner des indications interessantes sur une idée, un choix.

✅ La tête : le mental, la réflexion, nos processus cognitifs ont une importance primordiale pour que l’intuition soit posée dans un contexte extérieur.

C’est en mettant en phase ces 3 aspects, que l’intuition est complète et équilibrée…

Enfants : retour au calme …

L’idée est de proposer aux enfants un espace, un moment de retour au calme en toute bienveillance.

Les différentes approches efficaces à tester avec vos enfants (moduler en fonction de ce qui fonctionne le mieux avec lui) :

  • Un verre d’eau fraîche bu doucement , un groupe de 3 respirations abdominales,
  • l’OURS des émotions : reconnaître son émotion, et aussi savoir qu’on est entendu…
  • une boîte à émotion
    • un coussin doux, ou une peluche douce qui procure une sensation de réconfort.
    • un objet sur lequel souffler afin de réguler sa respiration et se concentrer sur l’inspiration et l’expiration,
    • un casque ou des écouteurs pour isoler l’enfant des bruits extérieurs et lui permettre de s’isoler dans sa bulle, avec une musique choisie pour un retour au calme en autonomie (relaxation, musique douce…).
  • Méditation :

http://https://youtu.be/JwRjwDluA30

  • Faire des câlins ! (déclenche l’ocytocine : Cette hormone diminue le stress, favorise l’empathie et développe un sentiment de confiance!)
  • s’étirer, faire du yoga

http://https://youtu.be/hyTx0P2WiFE

Ainsi, avec cet accompagnement de retour au calme, l’enfant apprend à accepter et à gérer ses émotions et dispose des moyens de se calmer. Sous votre regard bienveillant.

Le pouvoir des mots positifs

La communication verbale est le fil conducteur des les interactions humaines, et des difficultés lors d’un échange peuvent provenir d’une différence de signification des mots d’un individu à l’autre.

LES APPORTS DE LA Programmation Neuro-Linguistique.

La représentation d’images mentale est activée de manière inconsciente à l’écoute des mots ex : « couscous » ou « ranger » renvoient à des images (parfois plus que des images, même) en lisant ces mots, vous voyez la représentation que vous vous en faites…
Les mots peuvent aussi faire émerger des sensations : “relaxation”, ” tension”, “peur”, “chaleur”…; ils peuvent aussi faire ressurgir des souvenirs de situations passées.

L’EMPLOI D’UNE NEGATION :

  • Ne pensez pas aux fraises rouges qui sont dans le jardin.
  • Ne pensez pas aux fraises rouges qui ne sont pas dans le jardin.
  • Ne pensez pas aux fraises qui ne sont pas rouges et qui ne sont pas dans le jardin.

Que s’est-il passé pour vous en lisant ces 3 phrases ?

Avez-vous imaginé des fraises rouges dans un jardin ?… C’est normal. Dans notre esprit, la négation n’existe pas !

Alors quand Jules, 5 ans entend :

  1. Ne cours pas
  2. Ne crie pas
  3. Ne saute pas dans la flaque
  4. Ne tire pas les oreilles du chien

Il est incité à faire l’inverse de ce qui lui est indiqué : il a enregistré « cours », « crie », « saute », « tire les oreilles « !
Essayez :

  1. Marche lentement
  2. Parle doucement (encore plus efficace si vous le lui dites tout doucement !)
  3. Marche à coté de la flaque
  4. Caresse le chien gentiment

L’idée est bien d’exprimer ce que l’on souhaite (pas ce que l’on veut éviter, mais le résultat attendu !)

Ce qui est vrai en parentalité, l’est aussi dans notre relation à nous même.
Au lieu de nous concentrer sur ce que nous ne voulons pas, choisissons de poser des mots sur nos objectifs, sur les résultats que nous souhaitons.
Posez-vous cette question :

« J’attends quel résultat ? »

La communication est tellement fluide et claire quand l’essentiel est mis en avant. En parlant positif le plus souvent possible, votre langage sera plus riche aussi, puisque nous sommes obligés d’utiliser de nouvelles tournures dont nous n’avons pas forcément l’habitude.
Faites le point sur vos habitudes de langages pendant quelques jours, à la maison, au travail, avec vos amis, votre entourage ;

Votre Challenge :

Pendant 21 jours, amusez vous à transformer chaque phrase négative que vous sentez arriver en formulation positive, et notez-là !
21 jours, c’est le temps nécessaire pour fixer de nouvelles habitudes ; Vous serez alors en train de reprogrammer votre propre base de donnée de parler positif !
Un challenge qu’il est possible (voire recommandé) de faire en famille.

Émotions “positives”

Nous sommes programmés pour détecter le négatif (une question de survie de l’espèce héritée de nos ancêtres), alors une seule remarque négative a plus d’impact que 10 idées positives.
Il est donc particulièrement important d’utiliser des paroles positives lorsqu’on s’adresse à quelqu’un, et aussi de créer soi-même ses propres émotions positives (les 3B du bonheur : le Bien, le Beau, le Bon)

Avantages :

  • Stimulation de la créativité
  • Réduction des toxines
  • Réduction du stress
  • Travail plus rapide et plus précis, efficace
  • Sécrétion de neurotransmetteurs (comme la dopamine et les endorphines). Ceux-ci dynamisent nos capacités d’apprentissage. Ils stockent également mieux les informations, ce qui nous permet de mieux retrouver celles-ci par la suite.
  • Le cortex visuel (qui pilote la vue) enregistre plus de détails.

 

Il est possible de créer des émotions positives :

  • Visualiser le meilleur, (« le meilleur est à venir »)
  • Créer des images, des sensations agréables
  • Etre encouragé
  • Rire
  • Se souvenir de moments heureux
  • Ecouter un morceau de musique qui nous plaît…

Comme tous les changements de notre vie, quand on commence, il faut produire un effort, puis au bout de quelque temps, ça devient naturel.

Créer des émotions positives est important pour nous adultes et parents, comme pour nos enfants. à utiliser sans modération !

Émotions

Définition de Larousse : 

  • Trouble subit, agitation passagère causés par un sentiment vif de peur, de surprise, de joie, etc. : Parler avec émotion de quelqu’un.
  • Réaction affective transitoire d’assez grande intensité, habituellement provoquée par une stimulation venue de l’environnement.

Théorie Evolutionniste

Les émotions seraient un héritage de nos ancêtres. Pourquoi et comment les émotions se seraient-elles développées ?

A l’époque des chasseurs-cueilleurs, les Hommes devaient se déplacer constamment pour trouver de quoi se nourrir. Lors de ces déplacements, ils étaient confrontés à des phénomènes inattendus (changements climatiques, prédateurs, par exemple) leur demandant une réponse adaptative rapide. Les émotions vont donc se développer en réponse à différents ensembles de situations récurrentes. À cela, l’on peut ajouter le premier principe de Darwin, permettant d’expliquer comment une réaction tout d’abord volontaire va, au fil des générations, devenir innée et réflexe.

Une autre particularité des émotions est leur expression, faciale et vocale. Les recherches portant sur les expressions faciales, confirment l’hypothèse sur leur utilité communicative. En effet, savoir lire sur le visage facilite nos relations sociales ; de même, une interprétation erronée d’une mimique faciale peut nous faire adopter un comportement mal adapté à la situation.

Enfin, le dernier principe de Darwin va établir le lien entre émotion et système nerveux. Divers auteurs étudieront aussi les liens discrets et complexes entre odorat, hormones, phéromones et émotions.

Il était donc question de survie de l’espèce… le cerveau et le corps tout entier en accord pour arriver à réaliser des prouesses : la peur qui fait palpiter le cœur pour fuir plus vite, la colère pour mettre en place la force nécessaire à la défense…

... Emotion // Education?…

Au cours de mes lectures ces dernières années, l’approche d’Isabelle Filliozat dans « au cœur des émotions de l’enfant » m’a interpellée : « la vie est motion »

Oui, la vie c’est le mouvement, les hauts, les bas, et l’émotion est bien le mouvement de la vie en soi.
Les oublier, les enfermer serait bloquer une partie de Vie… Ecouter, confirmer les émotions de nos enfants revient à lui montrer qu’il est accepté tel qu’il EST.

Pour autant, l’  « écoute active » (et respectueuse) ne sous-entend nullement satisfaire à toutes les demandes de nos enfants.
Il est important pour l’enfant d’apprendre à gérer la frustration : «  Les enfants n’ont pas besoin de la voiture rouge ou de la poupée blonde, ils en ont envie. En revanche, ils ont absolument besoin que leur colère, expression de leur frustration, soit respectée et entendue. »

De plus, quand un enfant est accompagné dans le processus de reconnaissance de ses émotions, il entre dans la phase d’acceptation de qui il est, tel qu’il est, il construit sa confiance en lui.

Il serait donc tout naturel de savoir en tenir compte, écoutons nous bien toujours les signaux émis ? Savons-nous analyser, comprendre cette émotion ?…

Estime de soi

Être bien dans sa peau, c’est être fier de soi, de ses compétences, de ses réalisations, mais aussi de son potentiel, de ses capacités : pouvoir apprendre, comprendre, progresser, aimer et l’être en retour, éprouver des émotions d’ordre supérieur (justice, bonté, esthétique…), apprécier ses propres talents et ses propres choix.
Se donner le droit à l’erreur…
S’estimer, c’est se faire confiance, croire suffisamment en soi pour oser dire ce que l’on pense, faire ce que l’on croit devoir faire et assumer sereinement les conséquences.

Rôle de l’éducation

Dire NON…?

N’avons-nous pas, nous-même, été entraînés à l’obéissance, à la docilité, à la conformité, à craindre conséquences et représailles du fait d’exprimer directement nos émotions, nos idées, et à donner au-delà de nos limites.

Penser à soi nous a été présenté comme étant égoïste.

Au contraire, on nous a appris à nous effacer devant les autres, à mélanger responsabilité et culpabilité, amour de soi et vantardise ou orgueil.

Que dire de ce que nos éducateurs pensaient de notre intuition…

Ressentir : Rôle des émotions

Qu’il s’agisse d’une tension, de la crispation d’un muscle, d’une chaleur intense ou d’un frisson, de battements accélérés du cœur, d’une nausée, d’une anxiété soudaine ou d’un goût irrépressible de fuir, émotions, sentiments et pensées s’inscrivent dans notre corps.

Il est celui qui nous fournit des indices sur ce qui se passe à des niveaux plus profond.

L’émotion est parfois plus juste et plus authentique que la raison. Elle est la voie privilégiée pour accéder à notre instinct naturel.

Celui qui a une bonne estime de lui se fait confiance :

Il se permet d’avoir du pouvoir sur sa vie, celui de quitter par exemple une situation qui ne lui convenait pas. Il a dû tout d’abord s’arrêter pour prendre conscience de son état émotionnel et décider de se faire confiance.

Aller vers notre ressenti, apprécier nos émotions, apprendre à écouter notre corps, accueillir les signaux que celui-ci nous donne comme preuve de notre instinct naturel, et partager cette « découverte » avec nos enfants :

Ecouter, pour faire parler

L’écoute active est un des piliers de la communication non violente, bon nombre de théoriciens de l’éducation l’ont mise en avant. A juste titre !

Elle permet d’entendre (comprendre) ce qui se passe dans le fonctionnement de l’autre, et peut l’aider à chercher la racine de l’émotion ressentie.

Un enfant qui se sent « entendu » sera plus en confiance avec l’autre et avec lui-même. Il saura exprimer plus, aller plus loin dans son raisonnement et apprendra à jauger ses émotions, à les accepter, et saura prendre ses responsabilités vis-à- vis de ses choix, d’erreurs potentielles.

L’Estime de soi permet de se sentir libre de s’exprimer, de dire son désaccord, si nécessaire, de poser des limites et de garder un sens du moi fort.
Elle permet d’accepter ses erreurs, et de les considérer comme l’opportunité d’apprendre encore, de s’accepter tel que l’on est, avec nos points forts et aussi nos faiblesses.

Elle aidera aussi, et c’est fondamental, à faire face aux changements avec optimisme !

Stéphanie