ÉMOTIONS & Cie

Besoin de te libérer d’émotions envahissantes & perturbantes?
Parlons-en 😉 !

En me donnant tes coordonnées, tu recevras les pistes que je te propose d’explorer dans un premier temps.
Ensuite, il est possible que je te propose des pistes à explorer au moyen de capsules que tu pourras ouvrir au fil du temps…
Pour accueillir, dompter et même aimer tes émotions

C’est par ici => http://eepurl.com/drW6yn

CADEAU !

En ces temps où revenir à soi est juste incontournable, prenons le temps de le faire avec une méthode.

Il est question de calme, oui, mais pas seulement.
Il est question de redécouverte de soi, en profondeur.

Une approche vraiment forte, intense, qui fait du bien aussi, adaptée à tous.

Pour sa version GRATUITE, après vous être inscrits sur la plateforme, utilisez le code : Rubis

Suivez les audios à VOTRE Rythme, dès que vous vous sentez à l’aise avec un niveau, un audio, passez au suivant.
Choisissez un moment de calme, un moment pendant lequel vous ne serez pas dérangés, ou pratiquez avec les enfants, c’est possible.

Il m’importe de vous être utile pour maintenant, mais aussi pour préparer les temps de reprise, de vous accompagner d’une manière ou d’une autre.

Je reste joignable pour tout échange, si vous en ressentez le besoin. Sentez-vous libre de partager, si le coeur vous en dit.

Belle et douce journée !

https://reveiller-votre-potentiel.didacte.com/…/4967/descri…

L’intelligence émotionnelle

C’est ainsi qu’on nomme la capacité qu’a l’humain à avoir conscience de ses émotions, à être en mesure de les accueillir, de les comprendre et de s’en servir pour avancer au mieux, vers une version de la vie qui lui  convienne.

Nos émotions ET celles des autres…

Pour ceux (parents ou enfants) qui suivent ou ont suivi  un programme Encéfal®, pour développer cette intelligence, on va donc devoir s’appuyer sur  nos amis Solo et Sami, mais aussi sur Manuel.

Solo, c’est celui qui se connaît bien, qui aime prendre soin de lui,

 

Sami, c’est celui pour qui le lien à l’autre a une grande place dans son mode de fonctionnement, Comprendre ce que vit l’autre et ainsi développer son empathie fait aussi partie de l’intelligence émotionnelle.

Manuel pour lui, son génie passe par son corps.

Les émotions partent du corps puis son analysées par le cerveau.
Si elles sont nos alliées (et pas nos ennemies, pas du tout !), encore faut-il les accueillir comme on  accueillerait son meilleur ami. Celui qui parfois vous dit des choses désagréables, mais qui veut votre bien…

Eh bien, les émotions, c’est pareil !

Agréables ou désagréables, ce qu’elles vous indiquent, c’est ce qui est bon pour VOUS. De manière TOTALEMENT subjective, puisque teintées par vos valeurs, votre culture, vos objectifs réels.

Les accueillir, puis les comprendre , comprendre ce qu’elles ont à nous révéler qu’on aurait laissé passer…

Puis réussir à les nommer, Ici, c’est notre amie Mollie, la championne des mots (dans les suivis EnCéFAL®) qui fait son entrée ! Trouver le mot juste pour faire baisser la pression que peut provoquer cette émotion qui vient de monter en conscience. Puis enfin exprimer, à sa juste intensité de manière adéquate en tenant compte du contexte …
C’est tout un processus qui peut s’apprendre.

C’est tout un processus qui aide et soutient dans la vie de tous les jours pour avancer sur un chemin JUSTE pour soi, en accord avec soi-même.

 

On peut donc s’appuyer sur quelques-unes des préférences cognitives qu’on connait pour développer son intelligence émotionnelle : Linguistique (Mollie), Kinesthésique (Manuel), Intrapersonnelle (Solo) et interpersonnelle (Sami).

Si les enfants n’ont aucune idée de l’intensité de ce qu’ils vivent (voir les travaux de C. Gueguen), ils reconnaissent assez facilement le registre de l’émotion, et en tant que parents, vous pouvez :

  • Montrez l’exemple : Accueillez vos propres émotions…
  • Acceptez leurs émotions (votre émotion-réaction à un événement n’est pas forcément la même que la leur, acceptez le),
  • Accompagnez-les à découvrir le vocabulaire adéquat,
  • Montrez-leurs qu’ils savent déjà décrypter ce que les autres ressentent et que ça a du sens de s’y intéresser… ça s’appelle l’empathie (ça fait partie du BON du Beau Bien Bon)

 

Enfin, pour finir, voici les 5 habilités à travailler pour développer l’intelligence émotionnelle :

 

La DOSE de bonheur

Saviez-vous que quand vous êtes heureux, il se passe des choses dans votre cerveau ?
Et que ce qu’on associe au bonheur a des origines chimiques ?
Et oui, tout se passe au niveau de nos neurones !
Et pour se sentir plus heureux, on a même la chance de pouvoir influencer dessus !
Top, non ?

Le BeauBienBon© et EnCéFAL® nous présentent ces hormones du bonheur de cette manière : La DOSE Faisons un petit tour pour savoir comment faire.

  • Dopamine

Elle gère le niveau de “récompense” de notre cerveau. Cela peut être un compliment que l’on vous fait sur votre propre personne ou sur un travail accompli ou encore la réalisation d’un but quelque-soit le niveau.
Neurotransmetteur de la  réussite et de l’enthousiasme=> par exemple si vous montez les escaliers de la tour Eiffel, c’est long !… pour faire le dernier étage et vous motiver pour dernier effort=C’est l’idée de ce qu’on va réussir à faire ou le paysage attendu !
Penser à la sensation que l’on va avoir une fois arrivé en haut est créée par la Dopamine. L’effet WAOUH intérieur, on l’a aussi dans le BEAU qui vous laisser en second effet un sentiment de bien-être profond.

La dopamine est également déclenchée par des actes de générosité ou de bonté (le BON). Alors faites des cadeaux à vos proches, devenez bénévole dans une association caritative !

  • Ocytocine

Cette hormone, généralement associée à l’hormone de l’amour, est produite en grande quantité lorsque nous sommes entourés des personnes que nous aimons (notre compagnon, notre famille, nos amis, et même nos animaux de compagnie). Elle fait barrière à l’anxiété pour nous permettre d’être dans un état de bien-être total.
Bon moments, bons souvenirs, lien entre vous. Cultivez le BON.
Le Lien, c’est le O de DOSE : Neurotransmetteur de l’attachement (arrivée massive O au moment de l’accouchement qui crée un lien biologique entre la mère et son enfant / père lien apparait avec les soins que le père prodigue à son enfant et le temps passé en tête à tête avec son enfant !

  • Sérotonine

La sérotonine, un neurotransmetteur à l’origine de notre humeur, est utilisée dans les antidépresseurs pour une meilleure santé mentale.
Comment en produire ? Pratiquer une activité physique régulière, s’exposer à la lumière du jour, pratiquer les pensées positives chaque matin ou chaque soir avant de s’endormir (pratiquer le BeauBienBon©).
Revenons sur la tour Eiffel : une fois arrivé en haut, tout en haut, vous êtes fier d’avoir monté tous les étages, célébrez vos réussites, cultivez le BIEN !

Dans l’alimentation, trouver des aliments riches en tryptophane (précurseur de la sérotonine). Cela peut être du fromage, de la viande blanche, des œufs, des poissons. Pour les vegans et végétariens, rien de mieux que de manger des graines de courge, au top dans les salades de l’été !

  • Endorphines

Ces hormones, produites par le système nerveux central, nous aident à traiter la douleur physique. Elles sont généralement libérées après une séance d’exercice physique. Alors n’hésitez pas à sortir marcher, à faire du yoga en groupe ou dans votre salon, ou encore à aller faire une séance de jogging.
Faire du sport régulièrement, même quelques minutes, permet d’être plus en forme et plus en joie !

 

Donc pour résumer, profitez de la lumière du jour, de la nature, de vos amis et des personnes que vous aimez, (dites-le leur), fixez-vous des objectifs atteignables,  faites du sport, mangez de bons aliments sains, et vous aurez de plus grandes chances d’être heureux !

Green Power et jeunes enfants

Une des études sur le sujet du lien nature et bien-être ou nature et fonctionnement cérébral a été publiée récemment (2018).
Elle révèle que le fait de passer du temps en pleine nature a de nombreux effets bénéfiques pour la santé des jeunes enfants.
Publiée dans la revue PLOS ONE par l’Université de Hong Kong et l’Université d’Auckland en Nouvelle-Zélande, cette étude a porté sur 493 familles, avec des bambins âgés de deux à cinq ans, qui ont participé à l’étude.

Les résultats ont révélé que les enfants qui avaient un lien plus étroit avec la nature avaient moins de troubles comportementaux ou psychologiques, étaient moins anxieux, moins hyperactifs, et présentaient un comportement prosocial.

Les beaux jours reviennent, une balade dans la nature s’impose !

Pour un bilan complet sur les fondamentaux du fonctionnement cérébral, ou un bilan conseil sur les activités que vous pourriez pratiquer en famille pour le bien-être de chacun,

contact@stephanieminati.fr

Green Power et Mémoire

Selon une étude menée par des chercheurs espagnols et publiée en juin 2015, vivre entouré de verdure serait bon pour les enfants.

Concrètement, profiter de la nature permettrait d’augmenter les capacités de mémorisation et d’attention des plus jeunes.

Les chercheurs de l’université de Barcelone ont observé pendant plus d’un an, 2.593 écoliers âgés de 6 à 10 ans dans 36 écoles de la ville.
Tous les trois mois, les scientifiques évaluaient le développement cognitif de ces enfants en fonction de leur exposition aux espaces verts présents à l’école ou proches de leur domicile. 

 

L’exposition à la verdure aurait ainsi augmenté de 5% la mémoire de travail (capacité de retenir les informations à court terme) des enfants qui sont régulièrement au contact de la verdure.

Payam Dadvand, coauteur de cette étude ajoute : “l’environnement naturel, dont les espaces verts font partie, fournit aux enfants des opportunités uniques telles que l’incitation à l’engagement, la prise de risques, la découverte, la créativité, la maîtrise des situations, le renforcement de l’estime de soi. Il améliore les aptitudes psychologiques qui sont censées influencer de façon positive différents aspects du développement cognitif”.
L’étude a aussi démontré que les bénéfices de l’exposition à la nature sont aussi en partie dus à l’exposition à un air moins pollué.

Améliorer la relation parent-enfant avec la pratique de l’attention.

Des chercheurs se sont intéressés aux effets de la pratique de la mindfulness (pratique de l’attention) dans le cadre de la relation parent-enfant chez des enfants diagnostiqués avec une troubles de l’attention et de l’hyperactivité (TDAH).

Chez ces enfants, les difficultés d’obéissance amènent souvent les parents à exercer un contrôle sur leur enfant, aboutissant parfois à une augmentation de l’opposition de l’enfant.
Cette situation d’opposition empêche l’enfant de développer lui-même des stratégies d’auto-régulation.

Cette étude suggère que l’entraînement à la pleine conscience pour les mères et leur enfants, diagnostiquées TDAH améliore la relation mère-enfant.

De plus, elle indique que l’amélioration commence dès que la mère s’engage dans la pratique, avant même que l’enfant ne pratique la pleine conscience lui-même.

Les résultats sont encore améliorés lorsque l’enfant débute la pratique.


En pratique :

Le programme de suivi individuel Beau Bien Bon tend à amener les participants vers la pratique de la pleine conscience (observation éclairée de soi).

Pleine conscience de son hygiène de vie,
Pleine conscience du jeu,
Pleine conscience du Beau Bien Bon de la vie.

Source EnCéFAL®️

 

Plus d’informations

contact@stephanieminati.fr